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Affichage des articles du juillet, 2010

Marketing : PME, faites-le vous-même, mais faites-le bien !

Il en est pour le marketing comme pour bien d'autres domaines : le "do-it-yourself" (faites-le vous même) est à la mode. Les raisons ? Bien sûr, il y a la crise économique, qui contraint les entreprises à réduire les dépenses non vitales. Et souvent à tort, le marketing est considéré comme tel. Mais il n'y a pas que cela : le marketing et la communication sont ludiques. Ce sont des domaines qui font appel à la créativité et à l'inventivité. Beaucoup de chefs d'entreprises, de responsables commerciaux, d'assistants de direction se plaisent à créer eux-mêmes leurs supports marketing / communication. Cette tendance, que l'on désigne communément sous le terme “automarketing” s'amplifie en France avec le phénomène des auto-entrepreneurs. L’automarketing : oui, mais à condition que la qualité soit au rendez-vous Faire sa publicité soi-même, pourquoi pas. Mais il ne faut pas oublier que votre publicité, votre brochure et vos cartes de visite trans

L'importance des gabarits dans les plateformes web-to-print

Page-On-Demand, l'un des leader français dans l'automatisation des processus de conception de catalogues en mode SaaS, vient de publier un article très intéressant sur son site web, intitulé : “Le gabarit moteur de l'automatisation catalogue”. Cet article est illustré par l'interview de Cyprien Pinson, infographiste chez Euro RSCG 360. Il ressort deux points essentiels de cette interview : des gabarits bien conçus sont essentiels pour la réussite d'un projet d'automatisation de catalogue, la plateforme éditoriale permet à l'infographiste de se recentrer sur son cœur de métier : monter de belles pages. Et non passer son temps à corriger des coquilles, faire du copier/coller ou mettre à jour des prix. Je trouve cet article très pertinent car il rappelle une vérité essentielle dans le domaine du web-to-print (au sens large) : il ne faut pas croire que vous pourrez prendre n'importe quel fichier Indesign ou Quark Xpress, le “balancer” sur une plateforme we

Vers une bipolarisation de l'industrie des arts graphiques ?

L'arrivée de l'iPad a précipité les grandes manœuvres dans le domaine de la publication cross-media. Je m'en fais l'écho depuis plusieurs semaines dans ce blog : l'industrie de l'édition et de la communication vient de découvrir avec l'iPad un nouveau débouché, et donc, une source potentielle de revenus en plein période de disette. Revenus générés par des abonnements spécifiques (voir mon post à ce sujet) , ou par de nouveaux réseaux publicitaires. Mais qui dit nouveau débouché dit “nouveaux outils pour atteindre ce débouché”. Du côté de chez Quark comme chez Adobe, ce sont donc les grandes manœuvres qui ont commencées. L'enjeu ? Faire évoluer fissa fissa leurs logiciels de composition PAO pour qu'ils puissent adresser ce nouveau canal de communication. Les deux éditeurs ont d'ailleurs publié chacun leur feuille de route pour les mois à venir (voir celle d'Adobe et celle de Quark ). En gros, pour chaque éditeur, l'objectif est de perme

La mecque du script : Scriptopedia

Pour ceux qui ne le saurait pas, la PAO a deux visages : le côté funky, où on fait de la créa, on choisit des couleurs sur un joli nuancier Pantone, on s'éclate à faire des mises en page, et on se perd avec délices dans le choix d'une typo… le côté pas-funky du tout, où on passe des journées à faire du copier/coller de Word à Indesign, à détourer des photos pourraves de gens qui partent à la retraite… Et scoop… au risque de briser les rêves de centaines d'étudiants en graphisme… c'est le côté pas-funky qui l'emporte généralement. Heureusement, il y a de gentils Jedi qui s'évertuent à soulager leurs confrères graphistes en allégeant leur charge de tâches répétitives et ennuyeuses. Ils ont pour cela une arme redoutable : le script. Que ce soit dans Indesign, Photoshop, Illustrator ou Quark Xpress, il existe en effet un langage qui permet de piloter ces logiciels. Et du coup, grâce aux scripts, vous regardez votre Mac faire le boulot à votre place.

Blink Plan pour gérer ses chemins de fer en toute simplicité

Gérer le chemin de fer d'une publication peut vite virer au cauchemar si l'on ne dispose pas des outils adéquats. Dans bon nombre d'agences ou de services marketing, la manipulation des chemins de fer de magazines, de guides ou de catalogues se fait encore à la main, ce qui se traduit par des allers-retours incessants entre le client et l'équipe PAO dès qu'il s'agit de déplacer ou d'ajouter des pages. Bien sûr, il existe des outils dédiés, qui permettent de combiner plusieurs fichiers de PAO pour générer un chemin de fer, avec foliotage automatique. Mais il s'agit généralement de solutions onéreuses, plutôt orientées pour la presse, et souvent intégrées à des systèmes éditoriaux. Pour celui qui ne recherche qu'une représentation du chemin de fer, indépendante des fichiers natifs, il faut bricoler… certains le font dans Indesign, d'autres dans Powerpoint… mais globalement, c'est souvent la galère. C'est là qu'intervient BlinkPlan : ce

Rue 89 : du clic au kiosque

J'ai acheté le magazine papier de Rue 89. Et j'ai vécu une très jolie expérience. Je craignais de ne retrouver que des reprises des articles web, or ce n'est pas le cas. Des brèves succèdent aux articles de fond, les thèmes sont variés, on passe du “lourd” au “léger” sans jamais se lasser. La mise en page est splendide (bravo au D.A.), fraîche et classique, le format est très agréable… bref un sans faute. J'espère que l'expérience se prolongera dans la durée : Rue 89 le mérite. Et moi aussi… j'avoue ne pas avoir assez de “temps de cerveau disponible” pour absorber en détail un hebdo. Trop à lire, et surtout, trop de pollution de mon côté : sites web, twitter, réseaux sociaux… mon temps de cerveau disponible n'étant pas extensible, je dois le partager entre tous ces canaux. C’est pour cette raison que la périodicité de Rue 89 me ravit : je sais que ce rythme me conviendra. D'ailleurs, c'est peut-être l'une des raisons de la crise de la presse écri

Introduction en bourse de Wedia sur Alternext : “un formidable accélérateur de croissance”

Wedia poursuit sa dynamique de croissance et d'innovation, et dans cette logique, l'éditeur parisien est coté à partir d'aujourd'hui en bourse, sur Alternext. Félicitations à toutes et à tous pour cette nouvelle étape dans le développement de notre entreprise ! Et croyez-moi, vous n'êtes pas au bout de vos surprises ;-) Pour voir la vidéo de l'introduction en bourse, c'est ici . Voici le communiqué officiel : “WEDIA, éditeur de logiciels de gestion de contenu et de publication multicanal (web, papier, mobile), annonce son admission au marché NYSE Alternext à Paris le 12 juillet prochain, après un placement privé de 2,6 M€ réalisé auprès de BNP Paribas Private Equity et de X’Ange. Le prix d’admission a été fixé à 15,82 €, valorisant la société à près de 9,0 M€. 3 offres pour répondre à un marché porteur A l’heure de la multiplication des outils de communication (papier, web, smartphone, e-book, tablettes, etc.), WEDIA fournit aux directions marketing des solu

WEDIA et Amalthea lancent « Brand is Media », le blog qui décrypte les enjeux de la publication de contenu cross-média au service des stratégies de ma

WEDIA, éditeur de logiciels de gestion de contenu et de publication cross-média, lance le blog « Brand is Media » , véritable outil de veille et d’analyse sur la publication cross-média à destination des directions marketing et communication, des agences de communication et des acteurs de la presse. Après 8 années de collaboration autour de missions de relations médias, WEDIA a choisi de confier à Amalthea, première agence lyonnaise de conseils en relations médias et communication d’influence spécialisée dans le BtoB, l’innovation et les nouvelles technologies, la création et l’animation du blog. Lire le communiqué de presse. Accéder au blog “Brand is media”

Le SaaS, c'est comme du café lyophilisé… qui aurait le goût d'un véritable Expresso ! !

Imaginons une situation : vous êtes célibataire, vous vivez en appartement, et vous aimez boire un café le matin en vous réveillant. Un seul. Deux possibilités : soit vous achetez une bonne vieille cafetière, dont vous jeterez les deux tiers tous les matins dans l'évier… soit vous achetez un pot de café lyophilisé, et vous ne consommez que ce dont vous avez besoin. Certes, au kilo, le café lyophilisé revient plus cher que le café moulu. Mais vu que vous consommez très peu, ce critère n'entre pas vraiment en ligne de compte vu le gaspillage évité. Le SaaS, c'est un peu ça : vous consommez et vous payez en fonction de vos besoins réels, sans gaspillage ni de ressources, ni d'argent, ni de temps… C'est un service à la demande, ajusté précisément à vos exigences. Sauf que contrairement au café lyophilisé, le SaaS lui, a le goût du vrai café : dans le monde réel, il aurait le goût d’un pur Expresso ;-) Pourquoi je vous parle de ça ? Je sais, je prêche régulièrement pour

10 critères pour choisir sa plateforme éditoriale web-to-print sans se tromper

A l'heure où bon nombre de grandes entreprises songent à se doter d'une plateforme éditoriale web-to-print pour automatiser leurs processus de communication et gagner en efficacité, la question des critères de comparaison des offres se pose inéluctablement. Quel prestataire choisir ? Quelle technologie préférer ? Sur quels critères fonder son choix ? Je vous propose dix points-clés qui me semblent déterminants pour évaluer vos prestataires et choisir une plateforme éditoriale sans se tromper : Le cahier des charges : à l'origine, vous devez commencer par élaborer un cahier des charges, qui va également servir de base de comparaison des offres. Ce cahier des charges doit expliquer vos méthodes de travail, vos process internes, les problématiques auxquelles vous êtes confronté, puis détailler de manière aussi précise que possible vos besoins. Chaque prestataire devra ensuite reformuler ce cahier des charges pour montrer qu'il a bien compris votre problématique, et appor

Stéphane VILLE nommé Directeur commercial et marketing de PageOnDemand.com

Communiqué de presse : Paris, le 5 juillet 2010 – Stéphane Ville rejoint PageOnDemand.com , société et plateforme multicanal dédiée à la production de catalogues en mode SaaS (Software As A Service) en tant que Directeur commercial & marketing. Bénéficiant d’une riche expérience commerciale dans les secteurs des nouvelles technologies et des médias, il définira les orientations stratégiques de PageOnDemand.com qui, grâce à son modèle unique, connaît aujourd’hui une forte évolution et un succès croissant. 20 ans au service des médias et des nouvelles technologies Stéphane VILLE, 46 ans, a débuté sa carrière en 1987 au service publicité du Courrier du Parlement, où il est acteur d’un des tout premiers passages en France des titres en PAO (Publication assistée par ordinateur). C’est le déclic. Son goût pour les nouvelles technologies inspire la suite : en 1990, il devient Directeur du développement du Comité Richelieu, une association sous tutelle du Ministère de la défense regroupant

Comment un appareil aussi superflu que l'iPad va réussir à bouleverser les industries de l'édition et de l'imprimerie.

“A vous d'inventer la vie qui va avec”. Ce slogan de Renault , c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit quand j'ai vu un iPad pour la première fois. Indéniablement, l'objet est beau, sexy, attirant et extrêmement bien conçu, autant physiquement que d'un point de vue logiciel. Mais à quoi ça peut bien servir ? Franchement : on a déjà quasiment tous un ordinateur de bureau, un ordinateur portable, une console de jeu, un smartphone… donc fonctionnellement, qu'est-ce que l'iPad apporte de plus. Rien. Sauf une nouvelle façon de consommer et de s'afficher : or dans notre société du “hype” et du “bling-bling”, c'est la clé de la réussite. Entendons-nous bien. Je suis un vrai fan des productions Apple, j'ai effectué mon switching-out dans fin des années 90, ça va, c'est bon, maintenant j'assume. Et franchement, l'iPad, j'en vois deux usages vraiment pertinents : les seniors et les enfants. En effet, ce sont deux populati