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Affichage des articles du juin, 2011

Le CloudPro : Orange cible les PME

Aujourd'hui se tenait à Paris le lancement de l'offre "Le Cloud Pro" à centre Orange Rive Droite, dans le XVIe. Vivek Badrinah, Directeur Executif en charge des services aux Entreprises en a dévoilé les grandes lignes, devant un parterre de partenaires et en présence de Frédéric Lefebvre, Secrétaire d'Etat aux PME. Le Cloud Pro est un bouquet de services web sélectionnés par Orange pour répondre aux attentes des PME de 0 à 50 salariés. L'objectif d'Orange est multiple : rassurer les utilisateurs en étant garant des services proposés, suggérer de nouveaux comportements par un bouquet de services sans cesse enrichi et enfin, faciliter l'accès grâce à un identifiant unique, une interface unique... et une facturation unique, sur la facture ADSL. C'est simple mais très pertinent pour les pros. Un dernier axe consiste à animer, par le biais d'une communauté intitulée "Le Quartier des Pros", pour répondre aux questions des pros sur les probl

En direct du CloudPro

Héhé, un post en direct du lancement de l'offre CloudPro d'Orange dont Wedia Expresso est partenaire, aux côtés de Seesmic, Cegid, EBP, Microsoft, Viadeo,... tous spécialistes du SaaS. Orange propose un nouveau bouquet de services aux PME avec un unique portail, un unique identifiant d'accès et une unqiue facture. Le lancement se fait en ce moment chez Orange Rive Droite, en présence du Secrétaire d'Etat chargé des PME.

Imprimeurs : comment (bien) choisir sa solution web-to-print ? (mise à jour)

En écho à mon article de Samedi sur les critères de choix d'une solution web-to-print, je voudrais ajouter une précision : en ce qui concerne le cahier des charges, l'une des questions maîtresses concerne la finalité de votre futur outil. Car le terme de web-to-print est totalement galvaudé. Vous devez déterminer à l'avance si votre système doit servir à automatiser les processus de création et de personnalisation de documents, dans une logique d'industrialisation ; ou si au contraire, il doit vous permettre de mieux répondre aux cas particuliers et aux demandes spécifiques de vos clients, auquel cas vous vous trouverez plutôt dans une logique de travail collaboratif et de reviewing en ligne. Ce critère est essentiel, et c'est pour cette raison que je reviens dessus : il n'existe pas à ma connaissance de solution capable de TOUT faire correctement. On trouve soit d'excellentes solutions d'automatisation des processus, soit d'excellentes solutions

Bel article sur Thelia, solution e-Commerce open-source et française

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Comme le dirait Omar Sharif, “vous le savez, le commerce électronique, c'est ma grande passion” . En plus du web-to-print, mais bon, c'est complémentaire quand même. Du coup, je suis toujours à l'affût d'articles sur ce sujet, et je voulais vous inviter à lire celui consacré par Ludovic Passamonti à Thelia, et intitulé : “Thelia, l'autre solution e-commerce française, open source et libre”. Bel article, très complet avec en plus, en pied de page, le lien vers l'espace de démo. Idéal pour jouer avec.

Imprimeurs : comment (bien) choisir sa solution web-to-print ?

Le web-to-print, tout le monde en parle : moi le premier (héhé), mais comme nous avons pu le constater lors du dernier salon Graphitec, il s'agit du sujet à la mode qui commence à intéresser une grande majorité d'imprimeurs. Le problème, c'est que l'offre est pléthorique, et extrêmement diversifiée. Les technologies se cherchent encore, les concepts aussi et les jeunes pousses se multiplient. Alors dans ce contexte, comment faire le bon choix sur un investissement potentiellement structurant ? Comment être sûr d'opter pour le "bon cheval", sans risquer de se retrouver avec un système inopérant sur les bras ? Je vais essayer de donner quelques pistes pour aider celles et ceux qui sont dans ce cas : Commencez par rédiger un cahier des charges, même très succinct : le web-to-print, c'est très vaste comme sujet, pour ne pas dire vague. Prenez donc une feuille et listez les objectifs auxquels votre futur système doit répondre, en les classant par or

Revue de presse de l'actualité w2P - Ce qu'il ne fallait pas manquer en cette semaine du 20 juin 2011

Petit tour d'horizon de la semaine écoulée : alors ce qui m'a le plus intéressé, et de loin, c'est le projet Adobe Edge dévoilé par les Labs. Il s'agit d'une solution d'animation au format HTML 5, très prometteuse. Sinon, voici ce qui s'est passé... Alfresco dévoile un nouvel outil de travail collaboratif, Team . Le Bangor Daily News a mis en place une solution de publication web-to-print très innovante mariant Google Docs, Wordpress et Indesign. En plus, elle est open-source ! Dans le domaine de la gestion de contenu web, une annonce qui risque de chambouler la donne : Oracle a racheté Fatwire Enfocus a mis à jour PitStop Pro (desktop et server), en l'orientant vers l'iPad. Tiens, tiens... ça coïncide bien avec le rapprochement Enfocus-Woodwing ;-) Les labs d'Adobe ont présenté un module d'export HTML5 pour Illustrator : décidément, ils aiment bien le HTML5 en ce moment chez Adobe ! Ricoh pousse sa solution de web-to-print ( Now

Web-to-print open source : ça avance !

Le web-to-print a longtemps échappé à l'open-source, notamment parce qu'il reposait jusqu'à présent sur des technologies de composition propriétaires, type Adobe, Quark ou Pageflex. Mais les progrès de Flash, du HTML, du PDF, et l'apparition de logiciels de PAO open-source tel que Scribus, conduisent inéluctablement à l'apparition de solutions web-to-print Open-Source. Je vous avais parlé par exemple de projets tels que Calenco, WaterColor (Flex) ou ProduceAndPublish. Voici qu'aujourd'hui, une révolution pourrait venir d'un journal de Bangor, dans le Maine (spéciale dédicace aux fans de Stephen King). Ils ont mis au point un process inventif qui combine la puissance de plusieurs solutions éprouvées : Google Docs : les journalistes composent leurs articles dans ce traitement de texte en ligne, en bénéficiant des fonctionnalités collaboratives du traitement de texte de Goole (annotations, écriture à plusieurs, versionnement) Wordpress : via la si

Avec EDGE, Adobe revient aux fondamentaux de Flash... mais en HTML5

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J'ai adoré Flash, il y a longtemps. Lorsqu'il s'agissait principalement d'un outil de conception d'animation pour graphistes, capables de mettre – un peu – les mains dans le cambouis. En 2002, Macromedia Flash MX était un environnement d'animation qui mettait en avant les outils avec lesquels les graphistes étaient familiers : timeline, palettes, boutons... Puis petit à petit, notamment sous l'impulsion d'Adobe, Flash est devenu un environnement de développement, de moins en moins dédié aux graphistes. Les outils de codage ont pris le pas sur les outils graphiques, et je trouve que Flash y a perdu un peu son âme. Voici qu'Adobe dévoile un nouveau projet sur ces Labs : Adobe Edge. Un environnement graphique pour créer facilement des animations, sans une ligne de code... et entièrement en HTML 5. Mazette... ça faisait un moment que je l'attendais celui-là... L'interface d'Adobe Edge telle que l'on peut la voir sur la vidéo de dém

Abécédaire du E-Commerce :
H comme...

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H Habitudes :  quand ils sont habitués à un site web, les internautes sont comme les personnes âgées, ils détestent le changement. Il faut donc y aller très prudemment sur les évolutions fonctionnelles et ergonomiques. Si vous le pouvez, constituez-vous un panel d'utilisateurs-tests qui vous donneront leur avis sur des améliorations, en pratiquant l'A/B testing. Et communiquez sur les moindres évolutions, en positivant et en expliquant le pourquoi du comment. Il n'est pas forcément nécessaire d'aller jusqu'à singer Twitter qui a proposé pendant longtemps de choisir entre la nouvelle version de son interface et l'ancienne. Mais il faut avoir en tête que des changements même mineurs peuvent perturber l'utilisateur, ce qui peut avoir une influence négative sur vos ventes. Hard bounce / Soft bounce :  le commerce électronique repose en grande partie sur des échanges par e-mail. Prospection, promotions, relances panier, messages de confirmation de commande, inf

Revue de presse de l'actualité w2P - Ce qu'il ne fallait pas manquer en cette semaine du 13 juin 2011

Les infos notables de la semaine : Du côté de la publication multicanal et des tablettes : de plus en plus de journalistes et de bloggueurs se demandent si Adobe n'est pas en train de tuer son Flash ( lien ) EMailVision rachète SmartFocus et s'oriente de façon déterminée vers le multicanal ( lien ) Mediapost lance l'imprimé publicitaire augmenté, avec de vrais morceaux de QR dedans ( lien ) L'éditeur de solutions marketing Tukaiz entre dans le Top 50 des entreprises de Chicago qui connaissent la plus forte croissance ( lien ) Du côté du Web-to-print : visiblement, le w2p a été à la fête à Graphitec ( lien ) EskoArtwork offre sa suite GoPrint à ses clients nord-américains ( lien ) Du côté des éditeurs PAO Gluon a mis à jour ses packs d'extension pour Quark Xpress 9 ( lien ) TypeDNA2, un beau gestionnaire de fontes ( lien ) Quark Xpress 9 obtient 2 MacWorld Awards ( lien ) Adobe met à jour Indesign CS 5.5 ( lien ) Du côté du e-Commerce un article

KISS, un principe de vie... et de survie

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Dans les années 50, la firme Lockheed Martin élabora un chasseur supersonique particulièrement performant, le F-104 Starfighter. Cet avion aux performances époustouflantes obtint rapidement le sobriquet “d’avion-fusée”. Au cours des années 60, le F-104 devient le chasseur standard des pays de l’OTAN, ce qui lui valut un nouveau sobriquet, notamment en Allemagne : “le faiseur de veuves”. En effet, le F-104 fut à l’origine d'un grand scandale en Allemagne, en raison d’un nombre anormal d'accidents : plus d'une centaine de pilotes furent tués en mission, et très rapidement, le moteur de l'appareil fut mis en cause. Mais pas uniquement : les pilotes soulignèrent de véritables problèmes d'ergonomie sur le tableau de bord, le placement des commandes les conduisant régulièrement à quitter l'horizon des yeux pour chercher tel ou tel bouton, ce qui pouvait s’avérer fatal dans certaines configurations de vol. Les allemands entreprirent un programme d'amélioration

Tribune : Magento, une intégration qui s’annonce difficile…

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Tribune de Christophe Cremer, Directeur Général de PrestaShop Visiblement, eBay a fait une bonne affaire financière en s’intéressant tôt à Magento, un logiciel e-commerce qui est incontestablement une référence dans le domaine. Ayant pris une participation significative dans la société Varien, éditeur du logiciel Magento, il y plus d’un an, eBay disposait d’une place de choix pour négocier la suite. eBay n’en est pas à son premier essai en termes d’acquisition : Le rachat de Paypal en 2002 (paypal avait 3 ans d’existence et fut rachetée pour 1.5 milliards de dollars) fut une idée de génie… tous les acheteurs ont besoin de faire les paiements en ligne et la complémentarité évidente des offres a permis à Paypal de consolider sa position dominante. Aujourd’hui la rentabilité de Paypal est exceptionnelle. Toutefois, soulignons-le, personne ne considère le paiement comme un logiciel stratégique pour lequel l’indépendance du fournisseur constitue un critère de choix. Le rachat d

Facebook, un truc de has-been ?

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"Selon les chiffres d'Inside Facebook Gold, la croissance globale de Facebook a ralenti ces deux derniers mois, effet d'une baisse de la cadence des nouvelles inscriptions nord-américaines." J'adore ce type d'analyse : Facebook ne perd pas d'abonnés, simplement, il en gagne toujours des nouveaux, mais à un rythme qui ralentit. Or ce ralentissement affole les analystes, d'autant qu'au même moment, Apple a choisi d'intégrer en profondeur Twitter à iOS 5 , mais pas Facebook. Je pense qu'il y a une part de vérité là-dedans. Facebook, comme Twitter, a bénéficié d'un effet de mode déclenché par les “early-adopters” . Avant que les médias ne s'en empare, il s'agissait de quelque chose de mystérieux et de fascinant, qui excluait de fait tous ceux qui n'ont faisaient pas partie. Un truc de gens branchés, très sélect. Je pense qu'aujourd'hui, Facebook est victime de son succès : en se démocratisant, il perd tout attrait po

La gestion de projet, légère comme une Plum...

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Projet, projet, projet... tout est projet aujourd'hui.  Car à la réflexion, un projet n'est pas nécessairement un chantier monstrueux et hyper-ambitieux. Autoentrepreneurs, artisans, chefs d'équipe, directeur(trice) de service et bien sûr, chefs de projet... nous avons tous des projets à conduire pour répondre aux attentes de nos clients ou développer notre activité. Un projet, qu'est-ce que c'est exactement ? Un ensemble de tâches, organisées entre elles, hiérarchisées et imbriquées, qui doivent être réalisées dans un temps donné et qu'il faut assigner à une ou plusieurs personnes. Pour conduire un projet, chacun a sa technique. Mais il faut bien reconnaître qu'aujourd'hui, les améliorations des outils informatiques peuvent faciliter cette mission. Certes, on peut se contenter d'un bon vieux tableur Excel pour suivre l'avancement, lister les tâches et définir la "todolist" de chacun. Même si ça fonctionne, ça risque d'être ra

Abécédaire du E-Commerce :
G comme...

G Géolocalisation (adresses IP) :   dès que votre boutique va être ouverte, vous allez déclencher des achats. Surtout s'ils s'agit de biens de consommation courante. Des achats qui risquent probablement d'avoir comme origine l'Afrique de l'Ouest. Avec parfois des incohérences entre adresses de livraison et de facturation. Donc si vous voulez éviter fraudes et impayés, un bon moyen peut consister à géolocaliser les adresses IP des acheteurs de façon à vérifier si elles sont cohérentes avec les adresses de facturation et de livraison. En cas de décalage important, vous serez alors prévenu et vous pourrez procéder à des vérifications avant de livrer vos produits. Give to get :  un de ces maximes dont le web raffole. “Donner pour recevoir” : mais il faut bien avouer que cela fonctionne. Qu’il s’agisse d'une offre freemium, d'objets gratuits, d'infos pratiques, plus le visiteur aura l'impression de retirer de votre site du “positif ” de façon gratuite

Revue de presse de l'actualité w2P - Ce qu'il ne fallait pas manquer en ces semaines du 30 mai et du 6 juin

Pour cause de week-end prolongé la semaine dernière, je n’ai pas fait de revue de presse. Et après on s’étonne que mon blog ne génère aucun revenu... Pour la peine, vous en prendrez pour deux semaines... Bien fait. Alors, que c’est-il passé d’intéressant dans le monde merveilleux du web-to-print au cours de la quinzaine écoulée ? Du côté des solutions SaaS : Tweak.com intègre désormais officiellement des capacités d’impression ( lien ) Ricoh se lance dans le web-to-print en SaaS avec NowPrint ASAP ( lien ) iSynApps dévoile iSod, une sorte d'Indesign "lite" en ligne, tout en Flex ( lien )  les indiens se lancent résolument dans le web-to-print ( lien ) Du côté du cross-media : Wedia lève 2 millions d’euros pour accélérer son développement ( lien ) Nouvelle version de la plateforme PageFlex, clairement orientée publication multicanal et gestion de campagnes ( lien ) Quark propose la version 4 de XML Author, logiciel qui permet de construire du XML dans Word (

Le e-Commerce, une chance pour les départements ruraux : l'Aveyron, future Silicon Valley ?

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“Le e-commerce, une solution d'avenir en Midi-Pyrénées” : tel est le titre d'une étude exclusive La Poste-Coliposte/IPSOS sur les pratiques et usages du e-commerce en Midi-Pyrénées. La Dépêche du Midi nous en révèle les principaux résultats, qui pour la plupart, paraissent évidents : facilité d'usage aspects pratiques délais de livraison Mais il en est un qui a attiré mon attention. Je cite “le e-commerce contribue à réduire les inégalités face à l'éloignement des zones commerçantes.” Et oui, quand on habite en zone rurale comme moi, à sans Ikea ni Fnac à moins de 200 kms à la ronde, le commerce électronique est la seule solution pour se procurer certains articles. Bon, je vous rassure, on vit très bien sans Ikea ni Fnac. Mais bon, il faut reconnaître qu'à la base, ça ne renforce pas l'attractivité du territoire. Cela prouve en tout cas que le e-Commerce a une vraie dimension sociale, pas que “business”. Ce que j'espère du fond du cœur, c'est

Train de vie des blogueurs : j'ai dû louper un truc...

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Je viens de tomber par hasard sur le blog d'un certain Olivier Roland , qui se targue d'être un blogueur pro et de réaliser 14 000 € de chiffre d'affaires par mois. 14 000 € par mois (bling ! c'est le bruit de moi tombant de ma chaise). Re-Scoop ! Il révèle même combien gagnent les “blogueurs français” (eh oui, il y a bien des concombres espagnols). Et là, je retombe de ma chaise pour la seconde fois consécutive : un certain “Jean de webmarketing junkie” annonce 11 000 € par mois (de CA ?) pour 15 heures de travail par semaine. Seulement. Bah là, je dis :  “chapeau les gars”. Chapeau déjà, pour balancer ces infos sur le net comme ça, cash. J’espère pour vous que c’est vrai, parce que je suis sûr que la Direction des Impôts va adorer vos révélations. Chapeau également, parce que moi alors, je dois être un pauvre looser. Allez, je vais moi aussi lancer un scoop. Je vais vous révéler... COMBIEN QUE JE GAGNE GRÂCE A MON BLOG DE PRO (roulements de tambours..

Marketing : l'organisation des entreprises à l'épreuve de la CMI (Communication Marketing Intégrée)

Quand j'ai commencé à travailler dans la “pub”, au milieu des années 90, les choses suivaient un ordre bien établi. Les services de communication régnaient en maîtres sur l'identité visuelle, la charte graphique, la pub, les pub(lications) et les relations publiques. Le marketing s'occupait plutôt de stratégie, de merchandising et d'analyse comportementale. Les communicants avaient à leur disposition tout un tas de petites mains qui leur étaient dévouées corps et âmes, je veux bien sûr parler des roughmen (les plus jeunes d'entre nous iront chercher sur Wikipedia), des graphistes, des rédacteurs, des photographes, des D.A., des graveurs... A la périphérie de cet éco-système, on trouvait des éléments un peu parasites, tels que les achats et la compta qui venaient se mêler des dépenses somptuaires des services de communication. Et la finance, qui dans le cadre de sa communication boursière, pouvait être amenée à éditer un rapport annuel. Document qui, bien qu'il

Demandes de missions liées au web-to-print : un indicateur de l'engouement pour ce secteur

Je vois souvent passer sur mes “radars” des annonces d'entreprises qui recherchent des freelances pour mettre au point des solutions web-to-print. Il y a quelques mois, je repérais une à deux offres par mois. Depuis quelques temps, cela s'est considérablement accéléré. Je pense que cela témoigne de l'engouement suscité par le web-to-print ou le print e-Commerce comme cela commence à se dire. Jugez vous-même : des sites comme i-Freelancer , Freelance-projects , oDesk , DoNanza  ou Freelancer diffusent bon nombre d'annonces liées à ce secteur. A des tarifs parfois totalement ridicules par rapport aux missions demandées ;-) Au-delà de l'anecdote, ce que je trouve intéressant, c'est que ces offres émanent de clients finaux, d'éditeurs web ou d'imprimeurs qui partagent tous la volonté de se lancer dans l'aventure, avec des contraintes souvent similaires.

Les indiens à l'assaut du web-to-print (mise à jour)

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Dans un précédent billet, je vous parlais de l'offensive des indiens dans le domaine du web-to-print . En voici une nouvelle preuve, encore en Beta : Flexiprint . A la fois imprimeur en ligne et fournisseur de moteur web-to-print personnalisable, clés-en-mains. Avis aux amateurs ;-)

SaaS et Cloud computing en 2011 : menaces et dangers

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Deux infos qui tombent la même semaine, et qui se téléscopent : Apple se lance dans le cloud computing, avec une offre intitulée sobrement iCloud, dont les contours ne sont pas encore totalement connus ; Google annonce une attaque massive de son service de messagerie dans les nuages Gmail, attaque qui pourrait avoir compromis des comptes de hauts fonctionnaires américains ou de dissidents chinois. Le "cloud", c'est LE concept à la mode en ces années 2010. Une révolution dans la manière de consommer le logiciel, une nouvelle façon de se servir des ordinateurs, une nouvelle ère dans le stockage des données. Vos contenus sont désormais accessibles de n'importe où et depuis n'importe quel terminal. Que ce soit pour sa messagerie, sa bureautique, sa comptabilité ou ses sauvegardes, l'utilisateur professionnel peut enfin s'affranchir de l'achat de coûteuses licences de logiciel, des problématiques liées aux systèmes d'exploitation, voire même, d&

Quand le Hors-media redécouvre les vertus du Media

Pubs TV, encarts dans la presse, spots radios... Chaque jour, les marques du e-Commerce semble découvrir que finalement, la stratégie média a du sens. Après s'être limitées pendant des années à se contenter d'ad-words, d'affiliation ou de bannières publicitaires, je pense qu'elles ont fini par prendre conscience que pour construire une marque, créer une notoriété ou affirmer sa différence auprès du grand public, rien ne remplace les médias classiques : TV, radio, presse... C'est un revirement intéressant, car il prouve que, tel le papier par rapport au print, le canal "media" n'est pas mort. Il a une place véritable dans la stratégie de création d'une marque ; il faut juste être malin et agile pour utiliser à bon escient toutes les subtilités du media et du hors-media afin d'optimiser son ROMI. Cela prouve aussi que les agences de conseil en stratégie marketing doivent anticiper ce revirement, en étant capable de proposer des plans media ut

Les indiens à l'assaut du web-to-print

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Jusqu'à présent, le web-to-print était un secteur où les pays occidentaux dominaient. Essentiellement l'Europe (Allemagne, Belgique, Hollande, France) et Etats-Unis. La raison ? Précisément, je ne la connais pas. Mais j'ai plusieurs hypothèses : ces pays recensent de nombreuses multinationales qui, en tant que clients précurseurs, ont amorcé le marché en créant le besoin, et en tirant l'offre un lien historique fort avec le secteur de l'imprimerie sur la période 1995-2005, des territoires en avance dans l'utilisation du web Toutefois, aujourd'hui, il faut bien constater que centre de gravité de la planète web s'est déplacé pour se rapprocher de la zone Asie-Pacifique... Dans l'usage du web et des smartphones, dans le design, mais aussi dans le domaine de l'imprimerie.  Je trouvais donc très étonnant que nos amis chinois ou indiens ne s'intéressent pas au domaine si prometteur du web-to-print. C'est désormais chose faite. En quelq

Conduire un projet web-to-print : bien plus compliqué que mener un "simple" projet web

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Je le reconnais, ce titre est volontairement provocateur. Loin de moi l'idée de laisser croire que gérer un projet web est une tâche facile. Pour l'avoir fait à plusieurs reprises, je sais ô combien la conduite d'un site web, e-commerce ou CMS est complexe... Mais j'assume cette touche de provoc' : en effet, les projets web-to-print – des simples printshops aux plateformes éditoriales sophistiquées – sont souvent abordés exactement de la même façon que les services web . A tort. En caricaturant à l'extrême, le scénario est le suivant : cahier des charges, spécifications,  design de l'interface, développement,  intégration, recette et... mise en route !  Bien entendu, le niveau de complexité varie suivant l'environnement, les exigences du client et l'intégration d'applications tierces. Mais globalement, tout projet web suit grosso modo cette route. Les écueils potentiels sont globalement connus et identifiés : conduite du chang