Dans web-to-print, il y a du “web”, et il y a du “print”
©SXC John Tal's Les projets web-to-print sont dans l'air du temps : de plus en plus d'entreprises, grandes comme petites, d'imprimeurs ou de studio de création s'interrogent sur l'opportunité d'améliorer la relation et les circuits d'échanges entre fournisseurs de contenu, maquettistes et consommateurs. Après plusieurs années de tâtonnements, le web-to-print semble – à mon avis – arrivé à maturité : les clients en comprennent les bénéfices, les éditeurs ont rodé leurs offres, et le SaaS a permis de démocratiser une offre jusque-là très onéreuse. Et la généralisation du haut-débit a grandement facilité le déploiement de ces technologies, souvent gourmandes en bande passante. Néanmoins, le déploiement d'une plateforme web-to-print, qu'il s'agisse d'une offre “clés-en-mains” ou de l'intégration d'un système sur-mesure, n'est pas un projet comme les autres. En effet, si le web-to-print propulse le print dans une nouvelle