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Affichage des articles du octobre, 2011

Les fabricants de presse d'imprimerie se convertissent au web-to-print

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Heidelberg, Komoro, Ricoh, Man Roland, Kyocera... les fabricants de presses d'imprimerie ne pouvaient plus ignorer la demande de leurs clients en matière de solutions web-to-print. Et pour éviter une hémorragie, ils devaient reprendre la main sur les pionniers, Xerox, Océ et HP en tête. Chacun s'y est mis, développant ses propres solutions ou développant des partenariats avec des leaders du marché. Heidelberg s'est rapproché de Bitstream et de son Pageflex. MGI s'est adossé à PrintFlux , ManRoland a annoncé un partenariat avec l'intégrateur US RedTie. Komori semble lorgner du côté de XMPie. Fujifilm vient d'entrer dans la danse avec XMF PrintCentre , une plateforme complète... dans le cloud. XMF PrintCentre est un portail de type "store front", personnalisable aux couleurs de n'importe quel imprimeur, doté d'un back-office d'administration. D'après le constructeur, la solution est adaptée à tous les usages, de l'impr

Un avant-goût de la future interface de Gmail ?

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Fin septembre, Google a discrètement mis à jour sur son webstore un module d'accès à GMail en mode hors connexion, pour Chrome. Et là, surprise ! Une toute nouvelle interface, très chouette, au look très proche des clients de messagerie type Outlook ou Mail. Moins "web" et plus "app", si vous voyez ce que je veux dire… Au début, je me suis dit que c'était juste un module pour Chrome, rien à voir avec GMail. Sauf que si on regarde l'interface du nouvel iGoogle, on y retrouve le même look dans le module consacré à la messagerie, en lieu et place du bon vieux module en HTML rugueux. Du coup, je me demande s'il ne s'agirait pas pour Google d'un moyen de tester les réactions des utilisateurs face à une nouvelle UI. D'autant que cette interface semble très adaptée à des terminaux tactiles (gros boutons, look plus travaillé…). A suivre !

Cette semaine, c'est la "Quark Week" !

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Cette semaine, Quark vient de faire trois grandes annonces : MacUser a décerné le trophée du "Publishing Product of the Year" à Quark Xpress 9 . Les esprits chagrins diront que cela ne veut rien dire... mais je pense qu'au contraire, cela témoigne d'un renouveau de l'éditeur, qui a compris qu'il devait se rapprocher des besoins de ses clients. Et apporter de nouvelles fonctionnalités sans casser les repères auxquels ses clients sont habitués. Cela prouve aussi que, grâce notamment à la publication sur iPad, Quark Xpress prend un peu d'avance sur Indesign. Cliquez ici pour obtenir plus d'informations à ce sujet. Quark dévoile à Las Vegas sa solution de Dynamic Research Reporting en partenariat avec IBM. Cette plateforme combine Quark Publishing System et XML Author avec les solutions d'IBM pour automatiser la création et la diffusion des rapports d'analyse financière, en remplaçant de procédures manuelles.  Cliquez ici pour obtenir plus

Mobile-to-print : la future tendance lourde du marché

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Je l'évoquais au mois de Septembre, à l'occasion de l'annonce de Pageflex , le mobile-to-print pointe son nez à la faveur de l'engouement pour les smartphones. Ce qu'ils faisaient auparavant sur leur PC, les consommateurs veulent pouvoir le retrouver sur leur smartphone, avec plus de souplesse et d'instantanéité, et moins de contraintes. Il n'y avait pas de raison que le web-to-print y échappe. Pageflex a donné le top départ du concept avec PagePop. Richard Romano vient d'attirer notre attention sur Simply Postcard , la première app qui soit du mobile-to-print. Le principe est désarmant de simplicité : vous prenez une photo sur votre iPhone vous recadrez la photo pour l'adapter à un modèle de carte postale vous ajoutez un texte au dos vous choisissez jusqu'à huit contacts zou... votre carte postale (IRL) est imprimée en vrai et envoyée par courrier postal aux destinataire Et bien sûr, il y a l'étape où vous payez via vo

Web 2.0, radios libres… même combat !

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Le web me fait penser à la radio. J'ai l'impression qu'ils suivent la même évolution, à trente ans d'écart. Le web 2.0 a été une formidable avancée, comme les radios libres ont pu l'être en 1981. Tout le monde a pu s'exprimer, chacun a pu livrer ses pensées, donner son opinion, faire part de ses goûts… Tout le monde s'est retrouvé sur un pied d'égalité. Mais avec un nivellement par le bas… et une cacophonie terrible aujourd'hui. Au point que le cerveau de l'internaute moyen est en surchauffe. Le web est autant saturé que la bande FM l'était en 1985. Ça grésille, on n'entend plus rien, ça larsen de partout. L'internaute lambda n'arrive plus à suivre, il est bombardé d'informations, il est asphyxié par le temps réel, il ne peut plus reprendre sa respiration. Et puis il se rend compte que, finalement, l'avis de ses semblables l'intéresse de moins en moins. D'autant qu'il est de plus en plus sujet à caut

Nouveau look… pour tester les nouvelles features de Blogger

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Je sais. J'ai ENCORE changé le look de mon blog. Mais que voulez-vous, ce n'est point de ma faute. Mais c'est Blogger qui fait rien qu'à ajouter de nouvelles fonctionnalités. Donc forcément, faut que je teste. Là, l'équipe de Blogger a introduit les modèles dynamiques, qui permettent de modifier la mise en page à la volée. Et à l'utilisateur, de choisir son thème préféré via un menu spécial. J'aime bien, franchement. L'interface de personnalisation est sympa, on peut pousser la customisation assez loin. Et surtout, il me semble que ça rapproche Blogger de Tumblr : on peut désormais utiliser la plateforme de blog de Google pour autrechose… que du simple blog. Galerie photo, lecture “magazine”, timeline… Alors, chères lectrices et chers lecteurs, quel est votre avis sur cette nouvelle interface ? Appréciez-vous ces fonctions dynamiques ? Ou autre contraire, est-ce que ça vous perturbe ? Si vous voulez en savoir plus, voici une vidéo de démonstrati

Web-to-print : Silicon Publishing se met au HTML 5 + SVG + Webkit

"Du Flash partout où s'est possible. Pour tout le reste, du HTML 5". Cette citation est extraite du blog de Silicon Publishing, un éditeur de solutions web-to-print basées entre autres sur Adobe Scene 7, et dont je vous ai parlé à de nombreuses reprises, notamment au sujet de ses travaux sur le format FXG . Et bien lors de la 9th Annual SVG Open Conference, Silicon Publishing a annoncé qu'à la mi-2012, elle dévoilerait une version en HTML 5 de son éditeur Silicon Designer, avec une technologie exploitant toutes les richesses du WebKit et du format SVG. L'idée n'est pas de remplacer dans l'immédiat son appli Flex par celle en HTML 5, mais on sent bien qu'à terme, c'est ce format qui va naturellement s'imposer. Cela prouve également que les éditeurs entament leur mutation, en anticipant les évolutions des futures générations de navigateurs et en mettant au point des webapps avec "zéro plugin". Il est peut-être encore trop tôt pour

Web-to-print : un éditeur allemand met au point un éditeur combinant HTML5 et SVG

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Kinetics est un éditeur allemand de solutions de publication en ligne, notamment destinées au web-to-print. A l'occasion du salon +Druck, il vient de présenter son tout nouvel éditeur iBright Web2Print, qui présente cette originalité de n'être pas développé... en Flash (c'est Antoine Gaillard qui va être content). C'est suffisamment rare pour être souligné, car beaucoup d'éditeurs de module d'édition en ligne destinés à enrichir des systèmes existants se cantonnent encore aux technos Flex, comme Chili Publisher par exemple. Mon allemand étant loin d'être parfait, je vais essayer de retranscrire le processus décrit dans l'article original sans dire trop de bêtises. Visiblement, le pivot d'import n'est pas Indesign mais plutôt Illustrator, qui permet de convertir des mises en page de toutes sortes en SVG,  que l'éditeur iBright va pouvoir ensuite ouvrir en ligne. Les internautes pouvant ensuite, depuis leur navigateur, intervenir sur les

Web-to-print : Jennifer Matt nous explique les 10 erreurs à éviter

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A l'occasion d'un workshop de Xerox, Jennifer Matt a présenté ce qu'elle considère comme étant les 10 erreurs les plus courantes sur les projets web-to-print. Absence de stratégie et de business plan Focus sur un unique client, au risque que ce soit lui qui pilote les développements Volonté de construire la solution soi-même Manque de ressources internes et par conséquent, de maîtrise technique du produit Focalisation sur la production, au détriment de l'expérience utilisateur et de l'usabilité Blocage sur des détails, au détriment du besoin de vendre Trop grande anticipation de la technologie Manque de maîtrise et d'appropriation de la plateforme Trop grande focalisation sur la techno Manque d'implication des forces de vente, qui prennent le web-to-print comme un concurrent En conséquence de quoi, on pourrait en tirer 10 commandements : Focalisez-vous sur la stratégie et non la technologie Construisez un modèle générique, adapté au pl

Cocorico ! PageOnDemand signe son premier contrat aux Etats-Unis

C'est toujours une bonne nouvelle lorsqu'un éditeur français réussit à s'exporter. PageOnDemand vient ainsi d'annoncer son premier contrat américain avec l'agence Ivie Marketing, au Texas. Un premier contrat qui permet à PageOnDemand.com US de prendre son envol sur le marché américain. Le premier client à bénéficier de la technologie de PageOnDemand sera BI-LO, une société spécialisée dans la distribution alimentaire, et qui produit environ 250 catalogues par an. Plus d'info sur  http://us.pageondemand.com/news-events/  et sur  http://www.facebook.com/note.php?note_id=10150362625814643

Le web-to-print n'est-il qu'un produit de la crise ?

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(Photo  gildas_f ) Depuis une dizaine d'années que je m'intéresse au sujet, j'ai toujours pensé que le web-to-print était l'enfant naturel du web... et des métiers du marketing. Un passage obligé en somme, un chemin tracé par les nouveaux comportements induits par Internet. Il m'a toujours semblé que les clients finaux étaient en recherche d'automatisation, de personnalisation, de "do-it yourself"... parce que c'était une tendance naturelle du marché et qu'ils étaient en demande. Pas forcément un progrès, mais une évolution. Aujourd'hui, avec du recul, je m'interroge. Je me demande si finalement, à l'instar des compagnies aériennes low-cost, le web-to-print n'est pas juste l'enfant de la crise. Apparu juste après l'éclatement de la bulle Internet, le web-to-print est tombé à point nommé au moment où toutes les entreprises réduisaient drastiquement leurs budgets marketing. Et étaient contraintes de se débrou

PrintLi : un éditeur web-to-print tout simple, en devenir

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Voici un petit outil qui pourrait rendre bien des services à des imprimeurs en quêtes de fonctionnalités web-to-print simples. Voire simplissimes, mais après tout, il y a un marché pour cela. Pour l'instant, PrintLi en est encore au stade de la version Beta. Il s'agit d'un simple éditeur en Flash qui permet d'éditer du texte, d'en ajouter, de faire tourner des blocs, d'ajouter une image, de changer les couleurs du texte... Vous pouvez également gérer l'ordre des objets, changer les polices... Bref, c'est tout simple, mais assez sympa et plutôt intuitif. On retrouve des principes présentés dans d'autres solutions, mais en plus simple, et plus adapté à celles et ceux qui ont un besoin web-to-print basique ; pour permettre la personnalisation de cartes de visite, de cartes de voeux ou autres documents monopages. D'autant que Printli intègre un backoffice simplissime pour la gestion des commandes, ce qui est bien pratique. Côté prix, du

Aquafadas prépare la compatibilité avec l’iBook d'Apple

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Décidément, Aquafadas aime les tablettes et les eBooks.L'éditeur montpelliérain prépare ainsi une mise à jour de son plugin Indesign afin de faciliter la génération de livres au format ePub3, sans connaissance technique particulière. Connaissant la capacité d'Aquafadas à développer des applis simples d'usage, mais extrêmement performantes, gageons que cette évolution va intéresser bon nombre d'éditeurs, de freelances et d'agences. Ce plugin sera présenté jusqu'au 16 octobre lors de l'IFRA, puis ensuite lors du salon du livre de Francfort. Plus d'infos sur la newsletter Aquafadas .

Désemparées face aux réseaux sociaux, les directions marketing doivent se réinventer, pour se réapproprier leur marque

Durant cinq décennies, les directions marketing ont matraqué les ménagères de moins de 50 ans en utilisant tout l'arsenal dont elles disposaient. Et il s'agissait plutôt de gros calibres. Puis un jour, la ménagère de moins de 50 ans s'est mise à parler, à donner son avis, à critiquer. Et là tout l'édifice s'est écroulé. Les canons des communicants sont devenus muets face à cette petite ménagère à grande gueule. Longtemps dédaignés par les pros du marketing, qui les considéraient à tort comme des médias de second plan, les réseaux sociaux ont totalement modifié la donne. D'une relation mono-directionnelle, nous voici aujourd'hui arrivé à une relation multidirectionnelle, où l'information n'est plus distillée uniquement par le propriétaire de la marque, mais où chaque utilisateur a son mot à dire sur "sa" marque. La marque : c'est bien là tout l'enjeu. Je compare cette situation à une guerre de flibustiers. Avant, dans les temps

Enfocus : pilotez votre switch du bout des doigts

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La gamme Switch d'Enfocus continue son bonhomme de chemin : d'un "simple" automate de production, Switch est devenu une véritable communauté  d'intégrateurs qui permet de construire des flux automatisés pour répondre avec une très grande souplesse à toutes les contraintes de production des industries graphiques. Et bien désormais, il sera possible de piloter son Switch du bout des doigts grâce à l'app pour iPad qu'Enfocus vient de dévoiler. Un moyen très sympa : de justifier l'achat d'un iPad de suivre ses process de production d'enrichir les jobtickets de prendre des décisions en temps-réel de justifier l'achat d'un iPad. Les tablettes risquent fort d'envahir les imprimeries... Source :  http://www.enfocus.com/contentpage.php?id=7211

Tests multi-navigateurs avec BrowserStack

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Tester ses webapps sous plusieurs navigateurs n'est pas une sinécure ; chacun y va de sa technique, il y a ceux qui collectionnent les vieux PC, ceux qui font appel à tous leurs potes, et ceux qui essayent d'automatiser un peu les processes. Depuis peu, les agents utilisateurs de Safari ou Firefox permettent de simuler le rendu dans tel ou tel navigateur ; c'est déjà un bon début. BrowserStack propose (en beta) de visualiser le rendu de votre site sous plusieurs navigateurs. C'est assez surprenant, car j'ai l'impression qu'il s'agit carrément d'une VMware avec du partage d'écran vers un serveur sur lequel sont préinstallés plusieurs navigateurs différents. Les performances laissent à le penser en tout cas. C'est un peu comme utiliser un marteau pour écraser une mouche,  mais c'est très efficace, il faut bien le reconnaître. Un tableau de bord à gauche de l'écran permet de paramétrer son environnement de test, et dans la part

Le papier a de l'avenir parce qu'il a un passé

Je reviens sur mon post d'hier au sujet des prédictions sur la mort annoncée de la presse papier, totalement phagocytée par les terminaux numériques. Je n'y crois pas. Et ce débat qui oppose papier au numérique me lasse au plus haut point. Les analystes de tous poils ne semblent pas comprendre que chaque support répond à un besoin et à une clientèle précis. Et à un environnement aussi. Il y a 10 ans, on nous prédisait l'avènement du zéro papier. Puis avec l'arrivée des eBooks, la fin du livre, so has-been. Au bout d'un an, les analystes ont finalement constaté que l'eBook ne décollait pas tant que ça, et que le papier faisait de la résistance. Peut-être parce que la notion de DRM ne s'y applique pas. Et puis badaboum, Sir Steve dévoile son iPad, et là, tous ces analystes nous disent que forcément, l'avenir, c'est ça. Quel talent ! Mouais. Je vais essayer d'être factuel, et de faire mes prédictions pour 2017 moi aussi. En 2017, ce dont

Disparition de la presse papier : un faux débat

Depuis une semaine, le web se fait l'écho d'une interview parue dans la Tribune de Genève : Francis Gurry, de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, nous explique que dans 5 ans, les journaux papier auront disparu aux Etats-Unis, et que ce phénomène aura atteint le reste du monde en 2040. Il y a des études qui le prouvent. Je vais faire mon djeun's, mais ce genre de débat, ça me saôule. GRAVE. Je ne dis pas que le numérique est mieux ou moins bien que le papier. Je ne nie pas à quel point les tablettes chamboulent nos habitudes de lecture. Je ne défend pas un canal au détriment d'un autre. Tout ce que je pense, c'est que ce genre d'étude occulte un point essentiel : ce n'est ni le marché, ni les éditeurs de presse qui dicteront aux lecteurs leurs habitudes. S'il y a un public adepte des tablettes, il y en a un autre, probablement plus important, qui reste et restera fidèle pour longtemps au bon vieux papier. Soit par imperméabilité

Adobe Max 2011 : changement de cap, objectif : TABLETTE !

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L'Adobe Max a démarré hier, et les annonces fracassantes n'ont pas tardé à tomber, à la manière des keynotes de Steve Jobs. Et si Adobe a semblé s'être légèrement fait distancée ces derniers temps sur la thématique des tablettes, notamment en raison de Flash, il faut reconnaître qu'un sacré repositionnement est en cours, du moins dans la division consacrée aux outils de publication. Annonce du Creative Cloud pour Android et iOS : espace virtuel qui donnera accès à un ensemble d'applications "arts graphiques" pour tablettes, ainsi qu'à une zone de stockage de 20 Go, moyennant un abonnement mensuel. Ideas , Carousel,   Kuler ou Proto (déjà vus sur les Labs) et surtout, Photoshop Touch (version de Photoshop optimisée pour un usage tactile) feraient ainsi partie de cet espace en ligne, annoncé pour novembre 2012. Plus d'infos à ce sujet sur ce blog  ou sur le site dédié. Rachat de Typekit, librairie de typos CSS3 en ligne, indispensable pour pe

Audience : on frise les 400 !

Ce week-end, j'ai eu la bonne surprise de découvrir que mon blog frisait maintenant les 400 lecteurs/trices par jour, en cumulant visiteurs web et abonnés au flux RSS. Je suis très content, et je voulais juste vous dire "Merci" du fond du coeur. A++

OpenPublish : la plateforme éditoriale libre basée sur Drupal

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Les initiatives pour mettre au point des solutions web-to-print libres open-source se multiplient ; j'évoquais récemment une plateforme qui combinait avantageusement WordPress et Google Docs . Voici OpenPublish, de Phase2, un service basé sur Drupal et destiné à réduire le fossé entre éditions print et web, très orienté journaux et magazines. Il agit comme une mini salle de rédaction virtuelle, en facilitant le travail collaboratif et l'alimentation de plusieurs canaux de publication. OpenPublish gère la gestion de contenu, of course, l'asset management, mais aussi les abonnements et les programmes de fidélisation, le SEO et la monétisation des pages. Il ne s'agit pas d'une initiative de geeks qui ont bidouillé Drupal afin de réaliser leur fanzine. OpenPublish a été mis au point en collaboration avec Thomson Reuters, et il équipe plus de 150 sites dans le monde. http://openpublishapp.com/ http://acquia.com/downloads Voir aussi cette discussion sur Lin

Klout face à ses concurrents

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Source : Blog du modérateur  Klout n'est pas le premier service à tenter d'évaluer l'activité d'une personne sur les réseaux sociaux. D'autres services avant lui s'y sont essayé, avec plus ou moins de succès. La force de Klout réside à mon avis dans une idée simple, mais redoutable : le scoring. L'élément fondamental dans Klout, c'est la note qu'il vous attribue en tant que membre des réseaux sociaux. Bien que les critères d'évaluation ne soient pas très flous, Klout réussit - sur le papier du moins - à mesurer l'in-mesurable, en distribuant bonnes et mauvaises notes. Ce système de notation a de fortes chances de s'imposer, car il répond à plusieurs besoins : pour les tweetos / blogeurs, il permet de satisfaire leur égo et de se vendre potentiellement comme "influenceurs", donc de valoriser leur activité pour les community managers, Klout offre un moyen de mesurer l'efficacité de leur travail pour les marques,

Aquafadas : une petite démo de Motion Composer vaut mieux qu'un long discours

Aquafadas vient de publier un mini-site très sympa, appelé "What can you get with MotionComposer ?". C'est un démonstrateur destiné à montrer le potentiel de leur outil de création de contenus HTML5 ou Flash, dont je vous parlais récemment . Voici ce que ça donne : <p><p><p><p>Votre navigateur ne supporte pas les iframes.</p></p></p></p> Moi je dis : pretty cool !