Le Growth Hacking en 3 dessins

Le Growth Hacking, ou l'activation de croissance en français, c'est le terme à la mode en cette fin d'année. Mais bon, comme d'habitude avec les jargons marketeux-journalistiques, pas facile de comprendre ce que ça désigne.
Comme je vous l'ai expliqué, en ce qui me concerne, ça correspond parfaitement à ce que je sais faire : booster la croissance d'une entreprise en la regardant dans son ensemble, en activant tous les leviers possibles et en réformant les modes de management.

De façon plus concrète, voici ma définition du growth-hacking en trois petits croquis :-)
Crédits : Ludovic Martin

Le  premier illustre les différents cas de figure relatifs à la croissance :

  • hypercroissance (ou mode "startup"), où le plus gros challenge consiste à maîtriser la croissance exponentielle sans exploser en vol,
  • la panne de croissance : quand d'un coup, de façon inexpliquée, la croissance devient "flat" et qu'il faut redémarrer la machine
  • le trou d'air, ou quand la croissance se casse la figure et qu'il faut réagir avant de se crasher.



Crédits : Ludovic Martin


Beaucoup limitent le growth-hacking à un marketing de type "guérilla". Je pense qu'il faut aller plus loin et adopter une approche globale : regarder l'entreprise dans son ensemble, prendre en compte son environnement, et détecter tous les noeuds, les freins, les carcans, et identifier les gisements de croissance connus ou inconnus qui sont à portée de main.
Crédits : Ludovic Martin
Quand le diagnostic est posé, il faut enclencher le plan d'action dans un mode "test and learn".

Voilà, ça vaut ce que ça vaut, mais c'est ma vision du growth-hacking.